Ils nous avaient déjà comblés lors de leur dernière exposition, Marie-Thé et Alexandre exposent de nouveau pour notre plus grand plaisir !
du 28 avril au 27 mai
Parc Floral de Paris – Pavillon 18
Bois de Vincennes
Entrée Nymphéas – Route de la Pyramide / ou / Entrée Château
Bus 46-112 – RER A Vincennes – Métro Chateau de Vincennes.
Entrée libre
Du lundi au vendredi de 14h à 19h et le W-E et jours fériés de 10h30 à 19h.
Marie-Thé Allirot a voulu recréer dans cette série “Rêve de jeunesse” l’émotion éprouvée dans son enfance par l’attrait de la danse classique. La légèreté du tulle et la rigidité des chaussons à pointes symbolisent pour elle le travail et le plaisir de la danse, quand le mouvement transcende les contingences matérielles pour atteindre la beauté.
Le coin d’une pièce qui s’ouvre, qui s’élargit, qui se dérobe puis se donne à voir. Un recoin qui ouvre des perspectives. Un paradoxe dont les photographies d’Alexandre Morelli ne s’embarrassent pas. Tout ceci est pourtant bien réel. Nous sommes bien dans le recoin d’une pièce d’un salon, d’un bureau, du couloir d’un musée… et pourtant, loin de se cogner à toutes ces encoignures, le regard s’évade. Il y a beaucoup de mystère dans ces images qui nous plongent dans un univers bien plus vaste que l’espace photographié. Sommes-nous dans un univers bidimensionnel, tridimensionnel ? S’agit-il de peinture ou de photographie ? Seul, parfois un indice brouille le regard : bout d’affiche, peinture de plinthe écaillée… Des petites touches qui nous ramènent au réel : au mur, à la pièce, à la photo. Ce va-et-vient entre l’abstraction géométrique et l’espace concret ravit et déroute l’observateur. Avec « Coins perdus » Alexandre Morelli travaille sur nos perceptions et prouve que c’est bien le regard qui fait l’objet.